Petite note avant de commencer cette critique, je n'ai pas encore lus la pièce d'origine écrite par Molière nommée " Le Tartuffe" donc je n'ai pas vraiment encore la possibilité de faire la critique de l'adaptation de cette pièce par ce film.
Tartuffe est un film qui adapte pour une grand partie de son intrigue la pièce de Théâtre appelé "Le Tartuffe" écrite par le célèbre dramaturge français Molière… Cette pièce raconte comme un homme riche, se verra endoctriner dans une folie religieuse pieuse par un individu nommé Tartuff, qui cherche à utiliser son influence sur l'homme, riche pour hériter de son argent, et abuser en secret de ses richesses.
Ce film s'inscrit beaucoup comme un grand utilisateur de "mise en abîme", vu que la pièce quasi-éponyme du film "Tartuffe", est, elle montrait dans le film, comme une pièce adapté en film, que regardent les personnages principaux du film, hors bien sur des personnages de la pièce eux-mêmes. J'espère que vous avez bien compris, comme c'est un peu compliqué à expliquer textuellement comme je le fais ici.
L'intérêt principal du procédé de "mise en abîmes" ici est de mettre en rapport les personnages "hors du film dans le film" aux personnages du "film dans le film", en montrant les points communs des situations que vivent les deux groupes de personnages, ainsi le "film dans le film", permet aux personnages extérieurs à celui d'évoluer, en apprenant des choses sur eux-mêmes, parfois pour leur bien parfois pour leurs dépens.
Ce qui me semble très intéressant par rapport à l'utilisation de ce procédé, par ce film, c'est le fait, que ce dit procédé, amplifies l'impact de la morale du "film dans le film", pour la raison qu'en voyant l'impact que cette morale a sur les spectateurs du film extérieurs au "film dans le film", nous pouvons plus facilement voir l'universalité de cette morale ; et la façon dont elle peut agir hors du "film dans le film".
Pour terminer cette critique, je dis que je vous conseille ce film, vu que c'est un film, qui arrive très bien à utiliser la "mise en abîme", pour parler de notre rapport à l'art, et plus particulièrement aux films de fictions, d'une manière très ingénieuse.