The Sound of Violence
En 2006, après des années de violence entre Israël et le Liban, le souvenir d’une ancienne ligne ferroviaire entre Tel-Aviv et Beyrouth fait sourire Tanya et Myriam, libanaise et israélienne réunies...
le 14 févr. 2023
1 j'aime
Je me suis un peu emmerdé j'avoue.
L'idée est sympa mais le développement est tellement mince. Y a pas vraiment de scène forte, pas de personnage bien caractérisé, tout est plat et convenu ; en fait c'est un produit bien calibré pour les petits bourgeois européens, où on nous dit tout ce que l'on sait déjà mais qui fait du bien à entendre. Quelques idées sympas quand même, Tout n'est pas à dénigrer, mais c'est vraiment pas la folie, et c'est plus destiné à épater les européens que raconter une histoire.
La mise en scène est soignée, agréable. Classique, mais maîtrisée. Avec de beaux paysages, une belle lumière, des acteurs corrects, encore que parfois c'est un peu limite, comme la scène au café où la sirène retentit, des clients se cachent sous la table mais pas l'héroïne qui en a déjà vu d'autres... on croirait une répétition théâtrale.
Bref, pas extra.
Créée
le 1 mars 2024
Critique lue 37 fois
D'autres avis sur Tel Aviv - Beyrouth
En 2006, après des années de violence entre Israël et le Liban, le souvenir d’une ancienne ligne ferroviaire entre Tel-Aviv et Beyrouth fait sourire Tanya et Myriam, libanaise et israélienne réunies...
le 14 févr. 2023
1 j'aime
Trois moments de l'histoire tourmentée des relations entre Israël et le Liban à travers les destins croisés de deux familles qui apprennent à se connaître malgré elles dans un Sud-Liban qui vient...
Par
le 21 févr. 2023
1 j'aime
Je me suis un peu emmerdé j'avoue.L'idée est sympa mais le développement est tellement mince. Y a pas vraiment de scène forte, pas de personnage bien caractérisé, tout est plat et convenu ; en fait...
Par
le 1 mars 2024
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
120 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
107 j'aime
55