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La pièce manquante
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Par
le 23 août 2011
60 j'aime
8
comme un film fantastique qui...
n'en est pas !
prenez ça d'abord ... l'ile (parallèle évident cette année avec le Scorcese de SHUTTER ISLAND)
l'élégance et la maitrise des décors classieux, du cadrage et des lumière nimbés pas la musique
je spoil un minimum mais le plan de fin est la plus belle signature pour un film "Hitchcockiste"
les pages qui s'envolent comme la disparition du "Ghost" le "nègre "
Ouah Mr Polanski, on est à la limite des fois de se dire : c'est bavard mais on se laisse cueillir par une écriture vraiment ciselée.
on s'en contrefout du problème de qui est le méchant qui complote et ont s'accroche à la troublante femme trop honnête pour etre sincère, ou le vieux briscard bourgeois caché dans une foret comme dans un cote.
le précédent "ghost" et un vrai fantôme, et la scène du GPS m'a époustouflé pour un scenario à la hitchcock mais merde là c'est moderne.
et quelle lumière.
l'ambiance l'emporte sur les péripéties téléphonées, dans le raffinement.
et ça c'est bien.
(ouf Polanski à fait de belles merdes la décennie précédente, excepté "le pianiste" of course).
moi je dit : qu'il a bien sut s'entourer !
mauvaise langue
prenez ça d'abord ... l'ile (parallèle évident cette année avec le Scorcese de SHUTTER ISLAND)
l'élégance et la maitrise des décors classieux, du cadrage et des lumière nimbés pas la musique
je spoil un minimum mais le plan de fin est la plus belle signature pour un film "Hitchcockiste"
les pages qui s'envolent comme la disparition du "Ghost" le "nègre "
Ouah Mr Polanski, on est à la limite des fois de se dire : c'est bavard mais on se laisse cueillir par une écriture vraiment ciselée.
on s'en contrefout du problème de qui est le méchant qui complote et ont s'accroche à la troublante femme trop honnête pour etre sincère, ou le vieux briscard bourgeois caché dans une foret comme dans un cote.
le précédent "ghost" et un vrai fantôme, et la scène du GPS m'a époustouflé pour un scenario à la hitchcock mais merde là c'est moderne.
et quelle lumière.
l'ambiance l'emporte sur les péripéties téléphonées, dans le raffinement.
et ça c'est bien.
(ouf Polanski à fait de belles merdes la décennie précédente, excepté "le pianiste" of course).
moi je dit : qu'il a bien sut s'entourer !
mauvaise langue
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Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes top 2010 cinémoche et 2011 l'odyssée des films vus
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le 6 mai 2011
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