Director’s cut
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Ce Category 3 dénudé est une espèce de Cendrillon des temps modernes. Il est très bateau dans le fond comme la forme où la réussite sociale on l’obtient en gros comme on peut et presque (!) comme on veut. Mais là, c’est un autre débat. Alors action ! Durant la première heure de The Girls From China nous avons droit à un peu de sexe et des corps déshabillés, très peu, pas tant que cela en fait et c’est bien dommage parce qu’Isabelle Chow donne à voir. On regrette presque qu’elle n’est pas fait une carrière plus importante (un peu moins d’une quinzaine de films d’après les HKMDB et autre HKCM). Et puis vient la dernière demi-heure qui nous réveille, pas que l’on se soit endormi mais on assiste aux aventures de la petite Chow King sans plus d’implication, bien que l’on rigole de temps à autre. Rigoler est peut-être un grand mot (verbe) pour le coup. On sourit, c’est déjà ça. La tournure que prend la dernière partie n’est pas trop mal et rattrape finalement un film qu’on aurait jeté sans remord dans les dédales de l’oubli. Bon point donc. Et puis on y croise furtivement Pauline Chan et ce n’est pas rien. Pauline Chan qui vivait alors en 1992 une année chargée puisqu’elle enchainait les tournages (pas moins de huit), nouvelle icône oblige.
On retiendra de ce The Girls From China la dernière partie et les deux scènes « hot » entre Isabelle Chow et Jimmy Au. Surtout la seconde qui apporte toute la quintessence à ce petit film sur lequel on se déhanchera à l’écoute d’un morceau qui revient à plusieurs reprise le : « I, I, I was born in Beijing... » Attention, je ne parle pas ici du titre (même si c’est le même) chanté par Leon Lai mais celui d’une femme dont je ne connais pas l’identité. Si ça vous cause, la partie commentaire est là. Bien le merci !
(voir peloche et + : https://hongkongmovievideoclub.wordpress.com/2012/06/11/the-girls-from-china-1992-barry-lee-avis/)
Créée
le 25 janv. 2012
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