Le jet d'ail.
En voilà une chose qui en fait du vacarme, ça bouge dans tous les sens mais pourquoi? Pour faire du divertissement, c'est pour cela que Disney a acheté la licence Star wars après tout. La société aux...
Par
le 18 déc. 2019
79 j'aime
44
Un bandit nommé golden lion dérange les gens au pouvoir,ils vont mettre sa tête à prix,un homme peu scrupuleux va partir à sa traque. Lors du premier affrontement des deux hommes le nommé golden lion va être blessé par la griffe de son adversaire,ses frères vont alors partir à la recherche du seul docteur pouvant contrer le poison. L'homme à la griffe a la même déduction il part lui aussi à la recherche du docteur. C'est alors une course poursuite qui s'engage. Les combats s'enchainent lors de cette course au remède,mais l'histoire reste bien trop simpliste pour réellement captiver. On voit aussi l'apparition d'un python,il ne me semble pas que les pythons soient en chine,enfin il y a une race de python birman,le héro se jette sur le serpent afin de sauver la fille du docteur,il se fait mordre est suce la plaie pour extirper le venin,étant un serpent constricteur il n'a aucun venin donc cette scène est assez amusante. Le film se regarde mais il n'en ressort pas grand chose de marquant,malgré un début prometteur.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les Shaw Brothers visionnés., Un truc étrange dans le film. et Bien seule est ma critique.
Créée
le 7 févr. 2017
Critique lue 213 fois
1 j'aime
Du même critique
En voilà une chose qui en fait du vacarme, ça bouge dans tous les sens mais pourquoi? Pour faire du divertissement, c'est pour cela que Disney a acheté la licence Star wars après tout. La société aux...
Par
le 18 déc. 2019
79 j'aime
44
L'endoctrinement de la jeunesse Allemande est le sujet de ce Jojo Rabbit, qui voit Adolf Hitler comme la seule voie à suivre. Adolf est là constamment pour le petit Jojo, il est son ami imaginaire...
Par
le 28 janv. 2020
66 j'aime
16
Les années 60 à 70 ont été une très bonne période du cinéma, elles étaient inventives et permissives. Pourtant la censure était omniprésente, mais les cinéastes trouvaient tout un tas de stratagèmes...
Par
le 28 nov. 2019
56 j'aime
7