Gunslingers
Est-il possible d’avoir du Nicolas Cage dans un film de Nicolas Cage? Non? Bon bah j’imagine que je vais aller me faire foutre…
Sérieusement, Nicolas Cage fait partie du décor et ne sert strictement à rien durant 1 heure, 24 minutes et 45 secondes des 1 heure et 44 minutes que dure cette ‘’œuvre’’ (Si tant est qu’on peut appeler ça ainsi). Oui, je me suis fait chier à noter ça, car je n’avais rien d’autre à faire devant ce film.
Ce qui est ironique ici, c’est que Nicolas Cage reste le seul élément potable et mémorable dans ce long-métrage. Il incarne cet étrange personnage obsédé par la bible et qui, pour je ne sais quelle raison, a la voix d’un fumeur qui aurait fumé un paquet par jour durant toute sa vie.
À part lui, ce ‘’Gunslingers’’ ne propose tout simplement rien. Bon, en vrai si, on peut noter aussi que c’est le premier long-métrage de Scarlet Rose Stallone, la fille de Sylvester Stallone.
Le film en lui-même est un western de série B autour d’une histoire de rédemption nullement mémorable. Ce qui n’aide pas en d’autre chose, c’est son récit terriblement vide et son montage incohérent au possible. Bref, Nicolas Cage est amusant à voir aller pendant les 15 minutes qu’on le voit à l’écran. Sinon pour le reste, c’est à enterrer six pieds sous terre.
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