incroyable cette avalanche de bonnes critiques sur un film dont la banalité n'a d'égale que l'extrême faiblesse d'un scénario joué mille fois
un mari à tuer,
un amant magnifique bien sûr
et hop adieu famille, enfant ,etc...
c ''est la femme libérée aujourd'hui celle de Harlequin Youporné dont le sauvetage du patriarcat passe obligatoirement par l'adultere...
sauf que dans ces scénarios écrits souvent par des réalisatrices qui fantasment leurs propre vie elles finissent par retomber dans les mêmes erreurs...
bref après les fantasmes masculins des Truffaut, Godard etc on a l'équivalent feminin post meetoo
aussitôt vu aussitôt...
et plus de 2 heures...
j'avais déjà noté une certaine longueur de la part d'écrivaines écrivain et réalisateurs qui n'ont rien à dire