Le jeu du temps à travers le cinéma est assez connu avec des références Retour vers le futur, Terminator, Un Jour sans fin, X-Men Days of Future Past ou encore les Visiteurs. Avec The Infinite Man, Hugh Sullivan s'amuse avec pour nous donner lieu à une comédie romantique.
Simple par son budget, ses décors ou encore le nombre de ses acteurs, The Infinite Man est plus ou moins un huis clos qui joue avec les sentiments de notre héros Dean qui fait tout pour satisfaire sa dulcinée Lana.
En jouant parfaitement avec la difficulté d'être en couple, mais aussi sur les divers paradoxes du temps, le film est une pépite grâce un excellent scénario qui nous triture le cerveau. The Infinite Man rappelle sans conteste Eternal Sunshine of the Spotless Mind.
Pour une première performance, le couple principal joue bien, sans fausses notes, pour amener les émotions nécessaires à l'attachement de leurs personnages.
Avec son format court (1h25), The Infinite Man n'a pas le temps de nous ennuyer et vaut le détour à la fois pour la prouesse de ce qu'il a été fait avec si peu et pour son histoire très maligne.