Tels étaient les mots, en résumé, utilisés par Anonymous en 2014 lors de la diffusion des 33gb de données qu'Aaron Swartz avait récupéré à la MIT (diffusé un an après sa mort). Des données scientifiques, sans risque mais qui ont permis de mettre en lumière le gigantesque marché de l'évolution scientifique, ce gigantesque frein à la connaissance.
Ce sujet est à connaître et chacun devrait même prendre le risque de s'informer plus à ce sujet. La traque aux mots-clés doit continuer de se voir bombardée. Car dans ce brouhaha du web merchandisé, il faut parfois peler l'onion pour comprendre que le combat continue.
On ne doit pas être systématiquement d'accord, jamais. Ni avec ce qu'on nous impose, ni avec ce qu'on nous propose. Le doute et le questionnement sont essentiels et sans frontière.