Le jet d'ail.
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Si l'écurie Shaw a sortie les films à la pelle lors de son age d'or, il reste des réalisateurs qui sont des valeurs sûres de la firme. Chang Che est l'un de ceux ci, car il faut bien avouer que le scénario de the invisible fist n'est pas des plus inventifs. C'est dans ce genre de circonstances que le talent d'un réalisateur éclate encore un peu plus que de normal. Chang Che sait raconter les histoires et rendre un scénario moyen captivant. Un officier est à la recherche d'un gang de voleurs qu'il poursuit depuis deux ans sans résultat. Il faut dire que cette bande d’infâmes vilains se cachent façon keyser soze, en se faisant toujours passer pour le faible alors que se sont les piliers de l'organisation. C'est l'une des seules chose bien vue du scénario dont la construction suit un parcours fort classique. Cette histoire est boostée par l'impeccable réalisation de Chang che, qui a le sens de l’image, du cadre et du rythme. Le film bénéfice des atouts de son réalisateur, car avec quelqu'un d'autre aux manettes il est certains que le métrage ne sortirait pas la tête de l'eau du flot des productions Shaw Brothers.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Le top Shaw (cacao) Brothers., Les Shaw Brothers visionnés. et Bien seule est ma critique.
Créée
le 10 sept. 2015
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