Blousons noirs
Un peu contemplatif pour ne pas dire mou mais pas inintéressant.L'univers proposé est assez plaisant ; on sent que l'auteure souhaite déconstruire l'homme viril malgré les apparences. C'est plutôt...
Par
le 7 août 2023
2 j'aime
Un peu contemplatif pour ne pas dire mou mais pas inintéressant.
L'univers proposé est assez plaisant ; on sent que l'auteure souhaite déconstruire l'homme viril malgré les apparences. C'est plutôt bien écrit, juste que c'est très porté sur la contemplation plutôt que le développement, et c'est d'autant plus dommage que les personnages sont plutôt bien écrits (on aurait aimé les voir plus exploités).
La mise en scène est plaisante : Bigelow et Montgomery proposent une esthétique sobre mais reconnaissable, mettant bien en valeur la virilité des personnages. Quelque part, ces dégaines et ce contraste (entre arrière plan clair - désert - et avant plans foncés - vestons noirs) m'ont rappelé son film suivant "Near Dark". Les acteurs font du bon boulot. La photographie, le dcoupage et le montage sont bien soignés. La BO passe bien, comme si c'était une radio en fond sonore.
Bref, ça se regarde.
Créée
le 7 août 2023
Critique lue 47 fois
2 j'aime
D'autres avis sur The Loveless
Un peu contemplatif pour ne pas dire mou mais pas inintéressant.L'univers proposé est assez plaisant ; on sent que l'auteure souhaite déconstruire l'homme viril malgré les apparences. C'est plutôt...
Par
le 7 août 2023
2 j'aime
« The loveless » est un petit film sans grande envergure remarquable surtout pour ses acteurs charismatiques, Willem Dafoe en tête, parfait en rebelle hautain et désœuvré et son ambiance rock ‘n’...
le 17 déc. 2023
1 j'aime
Dialogue évident avec les années 1950, du moins avec l’ère pré-Kennedy, puisqu’aucune année n’est précisée, le film se positionne dans l’héritage d’un genre qui en 1981 est déjà tombé en désuétude :...
le 12 mars 2023
1 j'aime
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
122 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
109 j'aime
55