Je reste sur ma... Faim

On est en Inde, pas pour un documentaire quelconque mais pour une romance entre deux personnes qui ne se connaissent pas mais qui échangent leur pensée, leurs mots et leurs désires par des petits bouts de papier caché dans cette fameuse Lunchbox.
Une de ces deux personnes est Ila, une jeune femme au foyer qui est quelque peut délaissée par son mari qui part tôt le matin et reviens tard le soir. Elle décide alors de ce lancer dans des recettes de cuisine qui ont l’aire toutes plus savoureuses les unes que les autres. Le but étant de reconquérir son homme.
En inde, plus précisément à Bombay, les lunchbox (Dabba en indien) sont confié à un service de livraison qui permet qu'elles soient acheminé, grâce aux Dabbawallahs, jusqu'à la personne désiré, pour le repas de midi. Attendant des compliments de son mari sur le plat quand il rentre du travail , elle comprend vite que la lunchbox n'est pas livré au bon endroit.
Les repas sont par erreur, remis a Saajan, un Homme très solitaire, mélancolique, travaillant dans une grande boite de comptabilité et proche de la retraite. C'est quand les deux se rende compte de l'erreur, que les petites lettres se glisse dans la boite afin de résoudre ce mystère. L'histoire commence alors.
Dans ce film on peut voir une vie quotidienne, d'un fonctionnaire de Bombay et d'une femme au foyer mais aussi leurs ressentis, leurs habitudes, peut être même leurs désires et leurs peurs. Les images filmées montre l’authenticité des lieux ou se déroule les scènes comme dans le bus ou le train avec les champs indien. C'est une Inde travailleuse et qui a envie de s'en sortir qui est montré. C'est un nouveau Pays au yeux du spectateur. Une société de plus en plus moderne ou l'urbanisation est de plus en plus présente et la place de la femme dans cette société moderne est de plus en plus remarqué malgré Ila (et sa voisine, Auntie) femme eu foyer mais qui montre l'envie d'y mettre un terme.
Pour ma part, le fait d'introduire ces aperçu qui montre que le Pays va mieux à travers une histoire à l'eau de rose entre deux personne qui ne sont à la base pas destiné à ce rencontrer rend la rythmique du film un peut lente. Quand les lettres commence on attend la prochaine directement et le film se base sur cette histoire d'amour naissant entre Ila et Saajan. Entre les lettres Saajan vis une amitié avec son successeur (Shaikh, personnage qui amène une touche d'humour) à son poste de comptable tandis que Ila reste derrière ses fourneaux. Une rencontre est organisé mais se solde par un échec de Saajan qui n'ose pas faire le premier pas. Alors c'est Ila qui se rend voir Saajan à son travail qui est malheuresement déjà parti à la retraite. Une fin ouverte est alors présenté aux spectateur. Est ce que Ila et Saajan vont se trouver ou vont-il rester chacun de leur coter ?
Ce film sort du contexte du film à la Bollywood et en même temps ne correspond pas aux films d'amour occidentaux comme on peut en connaître. Je pense que c'est ce coter qui séduit le public. L'histoire (mal grès une certaine platitude ressenti) est très bien trouvé et le fait que ça se passe en Inde donne son charme. De Plus ayant été coproduit par une union Franco-allemande la spectateur reste dans un type de film qu'il connaît mais en même temps sort de l'ordinaire par son lieu géographique qui donne de l'originalité. Selon moi la même histoire à Paris ou Berlin, personne n'aurait entendu parlé de se film. Dommage car les acteurs sont très bons mais la rythmique du film est mal négociée.