Poison Girl
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Ça devient une habitude chez Refn de décevoir.
Comme Only God Forgives, la photo est belle, y’a pas à tergiverser, c’est clinquant, c’est crade, c’est fluo, c’est sombre. C’est beau. Mais le reste ne suit pas.
Le début et le milieu se révèle plus ou moins intéressant, une entrée dans le monde de la mode, des personnages mystérieux mais peut étoffés. Pauvre Karl Glusman, sans parler du personnage de Keenu qui aurait mérité un meilleur traitement.
Les plans trop longs, il suffit d’accélérer (merci Netflix) et nous arrivons à comprendre la trame quand même. Refn se perds lui même dans son propre jeu de pseudo film d’auteur, là où il avait excellé avec l’excellent Drive.
Créée
le 6 avr. 2020
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