J'ai beaucoup aimé ce documentaire, notamment la subjectivité et l'énergie de Slavoj Zizek pour animer son sujet.
Il prend le "pli", pour citer Deleuze, d'analyser l'histoire du cinéma sur la prisme freudien.
Il reprend sa formule "Surmoi, ça et moi" pour y intégrer et disséquer les méthodologies de grands réalisateurs.
Ce parti pris lui permet d'analyser ses œuvres classiques sur plusieurs degrés de lectures.
On pourrait appliquer sa formule à son documentaire qui ne manque pas d'humour, grandiloquence et dérision.