Vu les parties 1 et 2. C'est un peu foutraque, avec des regards plutôt pertinents par moment, et des passages incompréhensibles (mais bon, c'est un lacanien). Il est à noter que Zizek utilise pas mal les moyens de mise en scène qu'il veut pointer du doigt dans le cinéma (ce qui est assez marrant, quand il s'invite par exemple face à Morpheus dans Matrix).
C'est aussi l'occasion de mieux cerner certains concepts lacaniens, dont les différences entre la sexualité masculine et féminine (on ne fait plus l'amour de la même façon après ça).