8
Marche funèbre
Ce n'est pas très conventionnel, mais commençons par une mise au point entre rédacteur et lecteurs : je fais partie des rares personnes qui n'ont pas aimé Birdman, le précédent travail d'Alejandro...
le 25 févr. 2016
173 j'aime
41
S'il avait su, serait-il revenu ?
Dans une Amérique hostile où la barbarie est le projet le plus partagé par les hommes, où la nature n’est que beauté dangereuse et mortifère, certains s’échinent à faire le commerce des peaux. Par là-même ils pillent un bien précieux aux Indiens, qu’ils n’hésitent pas à massacrer accessoirement, ce qui est d’ailleurs réciproque malgré l’iniquité du combat.
Dans cette boue glacée, Hugh Glass, incarné par le quasi-insubmersible et désormais légitimement oscarisé Leonardo di Caprio, mène un groupe de trappeurs. Glass a indéniablement un passé ambiguë Lire la suite
3
Écrit par
Créée
le 8 mars 2016
Critique lue 279 fois
D'autres avis sur The Revenant
9
Immersion totale.
Passé l’exercice de style, accompli avec un brio rafraîchissant et sans précédent, de Birdman, Inarritu revient avec une œuvre, toute aussi maîtrisée, mais plus complète. Dès l’une des premières...
Par
le 28 déc. 2015
114 j'aime
18
6
Back to the suture
Il est parfois de grandes énigmes qui se révèlent être de parfaits trompe-l’œil. De face, l'absence d'Oscar pour Leonardo jusqu'à ce film pouvait sembler incompréhensible. Mais en se déplaçant de...
Par
le 29 févr. 2016
102 j'aime
23
Du même critique
4
Les malheurs de pervers narcissiques
On garde un souvenir vaguement exaspéré et légèrement attendri de nos lectures petite fille de la Comtesse de Ségur et notamment de l’héroïne allègrement peste et terriblement malchanceuse qui porte...
le 1 mai 2016
5
Carte postale
Le film est très plaisant mais terriblement édulcoré bien que la fraicheur de Saoirse Ronan soit un atout indéniable et que tous les acteurs semblent prendre un plaisir fou à ce film-cupcake. D’un...
le 11 mars 2016
6
Géant timide, sensibilité monstre
C’est avec une grande tendresse, une certaine retenue et beaucoup de pudeur que Dagur Kári dépeint son géant timide, incarné avec une sincérité bouleversante par Gunnar Jonsson. Kari sait, sans poser...
le 8 mars 2016
