Parrain Keith, parrain John... Quel cirque !
Forcément, je ne peux pas regarder cet instant de grâce télévisuel avec toute l'objectivité qui eut convenu, de part la sacrosainte mission que nous avons tous accepté ici, sur SensCritique, lors de nos délivrances d'avis s'échelonnant de 1 à 10.
Certes, j'eu pu mentionner la présence rigolote de Tommy Iommi, futur trancheur de jarrets au sein d'un Black Sabbath qui allait essaimer une bordée ininterrompue d'adorateurs transis pendant près de 50 ans (et regroupés sous le doux patronyme de "metalleux") au sein des jouissifs Jethro Tull (et pas "Jet Rotul", hein Nono ?) emmenés par un Ian Anderson dialotin.
J'aurai pu vous parler de ce groupe hallucinant composé pour l'occasion, The Dirty Mac, composé de John Lennon, Eric Clapton, Mitch Mitchell et Keith Richards poussant une chansonnette Lennonienne.
Je pourrais mentionner les Who, Marianne Faithfull, les Stones, forcément, le public bigarré, les intervention drôlatiques des uns et des autres entre chaque morceaux.
Oui, j'aurai pu.
Mis en fait, ce qui justifie totalement ma note, je l'avoue, est encore autre chose.
Cette historique émission fut enregistrée, ni plus ni moins, que le jour précis et exact de ma naissance. Et en plus, ils l'ont écrit en gros sur la pochette du DVD.
Et, je l'avoue, ceci n'est PAS un argument totalement digne de l'objectivité à laquelle je faisais référence en début de causerie.
Mais que voulez vous... j'assume.