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Even cows get the blues.
A l’ombre du grand et beau cerisier qu’est le cinéma d’animation japonaise, mondialement célèbre et célébré, pousse – timide mais résolu - un autre arbre qui lui semble à la fois semblable et bien...
le 11 mai 2016
De l'utilisation massive de stupéfiants dans les film d'animation coréen
Tout d'abord, j'étais perplexe à la lecture du pitch du film. Puis je suis allé le voir.
Et, très sérieusement, j'ai très vite arrêté de chercher une cohérence et/ou une logique à tout cela.
Un satellite voit les humains depuis des dizaines d'années et soudainement, souhaite descendre sur Terre pour les rencontrer. Qu'est-ce c'est que ce début ? Bon, on va dire que c'est un conte, passons.
Notre héros, dont le nom m'échappe, a un "chagrin d'amour", oui, la fille qui l'intéresse a déjà quelqu'un. Et donc en rentrant chez lui, il se transforme ... en VACHE ! Bon, c'est le titre du film, c'est bon, on a nos deux protagonistes principaux.
Notre petit satellite percute un incinérateur géant en descendant sur Terre, cet incinérateur est magique et donc la transforme en petite fille robot. Il ne s'en rend pas vraiment compte et incinère un autre personnage transformé en animal par un chagrin de cœur. D'accord, c'est bon, j'arrête de réfléchir.
Débarque, Merlin l'enchanteur, transformé en rouleau de papier toilette suite à un problème magique, une sorcière du Nord qui est un phacochère et passe dans le film sans qu'on comprenne trop l'intérêt... On a un autre méchant qui vole le foie des animaux au cœur brisé... N'en jetez plus, j'ai les mains pleines !
S'en suit des aventures qui partent dans tous les sens, des blagues potaches sur Merlin le rouleau de PQ, une image de la mort et de l'amour, des références bizarres qui doivent être culturelles...
On voudrait se prêter au jeu et parfois, ça passe. Notre robot achète des bras de rechange pour s'en servir de Tekken-Punch, tout est normal.
La fin, toute gentille, les méchants sont punis, les gentils ont appris une leçon.
Pour finir, je dirais que c'est bien un conte avec ses défauts et si les auteurs n'ont pas pris de substances illicites lors de l'écriture du script, ils ont un imaginaire... étonnant !
Bref, je ne le recommande pas mais si vous avez l'occasion de le voir, ne le fuyez pas, ça peut être une expérience... intéressante.
Et, très sérieusement, j'ai très vite arrêté de chercher une cohérence et/ou une logique à tout cela.
Un satellite voit les humains depuis des dizaines d'années et soudainement, souhaite descendre sur Terre pour les rencontrer. Qu'est-ce c'est que ce début ? Bon, on va dire que c'est un conte, passons.
Notre héros, dont le nom m'échappe, a un "chagrin d'amour", oui, la fille qui l'intéresse a déjà quelqu'un. Et donc en rentrant chez lui, il se transforme ... en VACHE ! Bon, c'est le titre du film, c'est bon, on a nos deux protagonistes principaux.
Notre petit satellite percute un incinérateur géant en descendant sur Terre, cet incinérateur est magique et donc la transforme en petite fille robot. Il ne s'en rend pas vraiment compte et incinère un autre personnage transformé en animal par un chagrin de cœur. D'accord, c'est bon, j'arrête de réfléchir.
Débarque, Merlin l'enchanteur, transformé en rouleau de papier toilette suite à un problème magique, une sorcière du Nord qui est un phacochère et passe dans le film sans qu'on comprenne trop l'intérêt... On a un autre méchant qui vole le foie des animaux au cœur brisé... N'en jetez plus, j'ai les mains pleines !
S'en suit des aventures qui partent dans tous les sens, des blagues potaches sur Merlin le rouleau de PQ, une image de la mort et de l'amour, des références bizarres qui doivent être culturelles...
On voudrait se prêter au jeu et parfois, ça passe. Notre robot achète des bras de rechange pour s'en servir de Tekken-Punch, tout est normal.
La fin, toute gentille, les méchants sont punis, les gentils ont appris une leçon.
Pour finir, je dirais que c'est bien un conte avec ses défauts et si les auteurs n'ont pas pris de substances illicites lors de l'écriture du script, ils ont un imaginaire... étonnant !
Bref, je ne le recommande pas mais si vous avez l'occasion de le voir, ne le fuyez pas, ça peut être une expérience... intéressante.
6
Écrit par
Créée
le 6 déc. 2014
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