Director’s cut
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A travers ces faits qui défrayent les chroniques (cas de « pseudo-mort »), c’est une aura parfois surnaturel et une ambiance aux teintes horrifiques qui semble planer dans ce récit traité par Wong Wa-Kei, seulement en surface. The Surgeon reste avant tout un drame de nature réaliste. Son personnage principal endossé par Ken Tong est naturellement obnubilé par la question, allant jusqu’à s’opposer fortement à son responsable lorsque celui-ci ou l’un de ses collègues déclarent la mort d’un patient de façon un peu trop hâtive à son goût. Ce diagnostic, ces « retours à la vie » sont omniprésents en lui. On comprend que l’évènement passé qui l’a traumatisé en est naturellement la cause. Un passé qui ressurgira alors par plusieurs flash-backs qui feront perdre pied à notre protagoniste, notamment fasciné par ce qui peut se passer dans un cimetière, non loin de chez lui. Un personnage principal qui parallèlement revit ce passé sous les traits de Kam Kuk. Wong Wa-Kei narre alors le destin de deux chinois du continent débarqué à Hong Kong. Lui arrivé jeune et qui a réussi une carrière dans la médecine. Elle qui fut bridé par sa mère ne voulant pas la voir faire des études et qui se retrouva dans des situations difficiles qui la poussèrent dans de multiples tentatives de suicides. Ce lien affectif passé se renoue à nouveau et embraye dans une relation houleuse qui les amènera même jusqu’aux Philippines. Une relation d’amitié, d’amour avec en toile de fond la médecine et ses cas de « pseudo-mort ».
(voir peloche et + : https://hongkongmovievideoclub.wordpress.com/2014/02/21/the-surgeon-1984-wong-wa-kei-avis-review/)
Créée
le 18 sept. 2015
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