Pour la deuxième semaine consécutive, je me retrouve dans l’incapacité de parler d’une oeuvre que j’ai vraiment envie d’évoquer. Car hélas, je n’ai pas pu aller voir la transposition live de La Belle et la Bête de Disney par Bill Condon, et ayant déjà évoqué Brimstone, l’incroyable western horrifique du brillantissime réalisateur hollandais Martin Koolhoven, il m’a fallu me rabattre sur une sortie plus confidentielle. C’est pour cette unique raison que je me suis retrouvé dans la salle de cette bouse faite film qu’est The Warriors Gate (Warrior's Gate dans la langue de Shakespeare, donc preuve ultime que les traducteurs de titres se foutent ouvertement de notre gueule), nanar estampillé Europacorp, tentant vainement de faire kiffer les marmots en leur proposant un récit qui est censé être de leur âge, tout en jouant avec la fibre nostalgique des adultes ayant grandis dans les années 1990.
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