Comme avec les Krafft l’impression forte et déstabilisante d'être là si loin du vivant, que mon désir est parti dans l'image où on voit rien, satisfait frustré dans la représentation. Pourtant dans la doublure des images nulles il y a celles tirées par Werner ou Maurice et Katia. Les gens qui s'y trouvent qui donnent tout comme si c'était rien me rappellent durement le creux où on se tasse. Mais il en fait toujours des caisses avec sa musique, chaque fois y'a du silence ou des sons enregistrés sur place qui pourraient êtres écoutés mais il nous remet ces musiques épiques.
Ça donne envie de se bouger, coups de pieds au cul: volcans, montgolfières, matière en mouvement.