Un film poilant ! (pardon.)
La perruque qui tue.
Mes amis les réalisateurs coréens. Vous êtes les réalisateurs de films les plus déglingués du monde, vous arrivez à nous pondre des chefs d'oeuvre d'horreur, malaisants, perturbants, terrifiants, sur trames de trahisons, haines ancestrales et vengeances de générations en générations...
Et vous savez aussi faire ça. La perruque qui tue. Sans déconner quoi.
Je préfère quand vous y mettez de la créativité et du sadisme, parce que là, c'était sans intérêt aucun.