Brannagh livre au final son film shakespearien, et insuffle une certaine dose d'héroïsme à Thor, non sans quelques clins d'oeils et de l'humour. Un mélange réussi, un poil trop commercial mais épique (surtout dans ses débuts), livré à une 3D inutile (et qui gâche l'image). Un pur produit made in Hollywood, qui néanmoins a le mérite d'être rapidement expédié. Comme ses nouveaux amis, Thor obtient donc une mention passable, loin de la réussite d'Iron Man. Mais imposer un personnage aussi étrange n'était pas un pari gagné d'avance. Nous voici donc avec un nouveau volume à rajouter à notre vidéothèque.