Transmorphers par Anaglaé
Je préviens tout de suite, cet article a été écrit sous le signe de l'ironie. Pour être sûr qu'il n'y aura aucune ambigüité au cours de la lecture de cet article, je mettrais un astérisque à chaque fois que j'emploierai cette figure de style.
Bon, revenons-en à notre film, Transmorphers. Attendez, je la refais : TransMORphers. Oui, parfaitement, me suis pas trompé. Non, ce film n'est pas une contrefaçon*. Par contre, on se dit qu'avec un titre pareil, ce film doit être une parodie, et avec un peu de chance, drôle. Hum hum...
Déjà, intéressons-nous au réalisateur, Leigh Scott. Vous ne connaissez pas ? Ce n'est pas normal*, car ce réalisateur de talent* a fourni à l'humanité ses plus grands classiques* du genre. Citons entre autre Flu Birds et Cyborg Conquest, qui n'auraient aucune raison* de figurer dans cette chronique parlant de nanars. D'ailleurs, vous ne retrouvez pas* prochainement* ces deux films ici. Au vue de l'intrigue et du scénario, on constate très rapidement que Leigh Scott a dû longuement* étudier* l'univers des TransFORmers.
Forcément, avec un passif pareil de la part de son réalisateur, Transmorphers ne peut être qu'une réussite*. Les effets spéciaux sont dignes* des plus grands studios de la planète. On est impressionné par cette avalanche d'images de synthèse qui nous scotchent* sur notre canapé et s'intègrent parfaitement* dans le film. Aucune*** critique à faire de ce côté, donc.
Passons aux acteurs. Cette brochette de super* stars*, habituée des box offices donne une autre dimension au film, en apportant de la profondeur* aux personnages. On s'attache* à eux ce qui nous permet d'être totalement pris* dans l'histoire*.
Bon, je n'en dirais pas plus pour ne pas détruire votre plaisir*. Pour résumer, un film à voir absolument*, et le plus vite possible.
Bon************** visionnage !