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London's Burning
Troisième film de Skolimowski (après l'incroyablement rigoureux Essential Killing et l'incroyablement fou Le Cri du sorcier), troisième claque dans un registre encore différent. Il est ici, dans...
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le 2 août 2015
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London calling.
Après le Londres psychédélique et libertaire des années 60, Jerzy Skolimowski décrit celui bien plus morne du tout début des années 80, à travers le parcours d'immigrés (menés par un excellent Jeremy Irons, alors peu connu) venu travailler au noir à moindre frais. L'occasion pour le cinéaste d'aborder la situation politique de la Pologne tout en y faisant un parallèle avec l'Angleterre limite totalitaire de l'époque (et vas-y que je t'espionne derrière mes caméras de superettes) et de retranscrire la paranoïa galopante de son antihéros en exil sans jamais tomber dans le sordide où le pathos, le metteur en scène apportant un humour bienvenue à son récit.
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Jerzyterais pas à le revoir
Alors que la projection de son "Haut les mains" venait tout juste d'être autorisée, après plus de dix ans de censure prohibitive, et consécutivement au succès critique du somptueux "Cri du Sorcier"...
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le 28 avr. 2011
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le 5 juil. 2012
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On ne va pas se mentir, "Gravity" n'est en aucun cas la petite révolution vendue par des pseudo-journalistes en quête désespérée de succès populaire et ne cherche de toute façon à aucun moment à...
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Les comparaisons systématiques avec "2001" dès qu'un film se déroule dans l'espace ayant tendance à me pomper l'ozone, je ne citerais à aucun moment l'oeuvre intouchable de Stanley Kubrick, la...
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le 16 nov. 2014
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De bruit et de fureur.
Il y a maintenant trente six ans, George Miller apportait un sacré vent de fraîcheur au sein de la série B avec une production aussi modeste que fracassante. Peu après, adoubé par Hollywood, le...
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