...my name is Travis fucking Scott !
Retraçant les derniers gros événements de sa vie, notamment la naissance de sa fille Stormi ou sa nomination aux Grammy Awards, Travis Scott est ici présenté sous plusieurs aspects. En effet, on voit beaucoup de ses moments sur scène mais également certains passés avec sa famille.
La majeur partie du documentaire réside sur la réalisation de son dernier album, Astroworld. Nous pouvons y observer La Flame enregistrer en studio, avec tout au long du documentaire des clichés de l’artiste allant au parc d’attraction portant le même nom que l’album en question. Il y rend hommage car, comme il le dit, ce parc était une partie de lui et lors sa fermeture en octobre 2005 puis de sa destruction en 2006, une fraction de lui s’est évadée avec.
L’humanité dont fait preuve l’artiste en concert est touchante. Il refuse que l’un de ses fans se fassent virer, et leur fait vivre leurs rêves en les faisant monter sur scène.
Autant les instants de concert sont distrayants, autant le reste du documentaire tourne assez vite en rond.
L’apport d’informations vis à vis de la création d’Astroworld est trop faible. La majeur partie du documentaire se consacre aux lives de Scott, pimentés par l’ambiance déjantée qui en ressort.