Lorsque Tom, coach de l'équipe de football de sa petit ville natale, se voit proposer le même poste mais à l'Université de Chicago, sa femme Kate et leur 12 enfants le suivent pour la « grande ville ». Mais très vite, Kate est tout autant prise que Tom par son travail. Commence alors une lutte sur la répartition des tâches parentales qui engendrera quiproquos et incompréhension…
TREIZE A LA DOUZAINE est l'adaptation d'un livre de souvenir qui a eu le droit à une première version en 1950.
Ce film est vraiment pas ouf, mais il y a malgré tout quelques points qui sauvent le film d'être raté.
L'histoire est typique des comédies sur les pères de familles qui se retrouve seul avec ses enfants, qui n'arrive pas à les gérer et est pris par son travail. Le tout est vraiment pas original où il n'y a que le nombre d'enfants qui change.
Il n'y a pas de véritable fil conducteur dans l'intrigue et le tout est insipide. Les scènes sont à peine drôles, et on a le droit à des scènes vraiment lourdingue, que ce soit la scène du crapaud, les moments où les enfants veulent ridiculiser Hank (surtout le passage horrible où ils mettent du steak dans le caleçon de ce dernier, pour que les chiens s'en prennent à lui) ou encore la scène de l'anniversaire de Dylan.
Mais le tout est malgré tout sauvé dans la dernière partie avec des moments plus touchants, que ce soit la morale sur la famille qui n'est pas original mais fonctionne, et aussi le moment où le petit Mark fait une fugue car il considère que personne ne s'intéresse à lui.
Autre point qui est assez bon, c'est le casting, avec en tête Steve Martin qui est assez amusant bien qu'il surjoue à des moments, et il arrive aussi surtout dans la dernière partie à jouer le père tendre. Le reste du casting est correct même si il n'a rien de fou.
Après la réalisation de Shawn Levy n'a rien d'exceptionnel.
Une comédie qui arrive à passer bien qu'on soit près du ratage.