Two Hands par languedepute

Dans la lignée d'un True romance ou d'un Snatch sorti l'année suivante : décalé, grinçant, drôle sans atteindre malgré tout le degré de réussite des références citées précédemment. Jolie performance...

Le réalisateur Gregor Jordan n'a décidément pas de chance : aucun de ses films n'est sorti en salles en France. C'est par la case DTV qu'il nous a fallu découvrir le travail de ce cinéaste australien...

Je ne connaissais absolument pas Gregor Jordan mais à l'occasion de "Two Hands" je découvre le Guy Ritchie australien de la fin des années 1990, la densité de points communs étant assez incroyable...

On vous dit que c'est un chef-d'oeuvre alors c'est un chef d'oeuvre. Eh bien moi je vous dis, tas de branle-neurones vaniteux sans identité, que c'est de l'anti-art. Jeu calamiteux, prise de son...

Si l'on arrête un peu la démagogie #metoo pour se concentrer sur la critique impartiale il reste que cette série est d'une qualité honorable mais ne fait pas d'étincelles, cède à certaines facilités...

Il n'y a bien que Jean-Luc "Le Melon" Godard pour penser briller et résumer un conflit en soliloquant 2 minutes.