Uglies
3.8
Uglies

Film de McG (2024)

Voir le film

Pur produit adoleschiant où tout est formaté pour n'avoir rien à dire. Uglies et ses suites s'annoncent comme le nouvel Hunger Games/Divergente. Les dichotomies simplistes servent de trames à des scénarios répétitifs de résistance à l'oppression adulte. Les effets spéciaux servent de lumière à papillons. La complexité des rapports humains sont réduites à des émotions primaires.

hubertguillaud
1
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs films de 2024

Créée

le 15 sept. 2024

Critique lue 241 fois

2 j'aime

hubertguillaud

Écrit par

Critique lue 241 fois

2

D'autres avis sur Uglies

Uglies
estonius
1

Navet futuriste

Déjà le concept de départ est débile, mais un bon réalisateur et un bon scénario peuvent toujours transcender un mauvais sujet. Sauf qu'ici c'est loin d'être le cas. Ce film est lamentable dans tous...

le 13 sept. 2024

7 j'aime

Uglies
Aenore
3

Ouch ... c'est moche

Uglies est une des lectures ado/young adult qui m'a marqué peut-être l'ai-je un peu trop idéalisée à l'époque et je suis bien tentée de la relire pour vérifier mon avis suite à ce film .....

le 13 sept. 2024

4 j'aime

1

Du même critique

Samuel
hubertguillaud
10

Emballant !

D'une simplicité incroyable, d'un trait épuré, Emilie Tronche nous embarque dans la prime adolescence avec une série absolument excellente, faite de petits instants, de regards, de réflexions sur...

le 12 mars 2024

59 j'aime

Homo deus
hubertguillaud
2

La technologie, une religion qui s'auto-réalise

Sapiens, le précédent livre de Yuval Harari, cette grande fresque de l’humanité a permis à des millions de lecteurs de se sentir intelligents, de comprendre notre aventure humaine sur plus de 300 000...

le 29 août 2017

33 j'aime

14

The Irishman
hubertguillaud
2

Du cinéma naphtaline !

Scorsese reste un grand conteur. Malgré les longueurs, les digressions, la fadeur de l'ensemble, il nous embarque à grand coup de nostalgie dans cet univers de mafia disparue, qu'il a tant raconté...

le 1 déc. 2019

24 j'aime

2