Coucou bande d'ingrats, I'm the party-pooper.
J'enlève deux points à ce film parce qu'il est un peu trop niais et américain et qu'il a de grosses ficelles et que...
Je n'enlève pas 50 points à ce film parce que c'est une comédie américaine conne.
Je m'en fous.
Je voulais me marrer et je me marre.
J'aime autant me marrer que réfléchir profondément au sens de la vie.
Donc, j'aime autant une comédie sans propos qu'une tragédie philosophique.

Dans Kintergaten cop (à lire avec l'accent d'Ursula), y'a http://24.media.tumblr.com/tumblr_mbxejuSixv1r2p3x5o1_400.gif avec des lunettes rondes noires et une barbe, il est supra sexy. Il casse tout, il punch-line tout ce qui bouge et c'est très rigolo. Il dégaine ses menottes plus vite que son ombre. Le début du film est digne d'un (grand) film d'action, le méchant est moche, il a une queue de cheval.
Après, sa co-équipière vomit pendant 10 minutes sur une musique charmante : quid pro quo, deus ex machina, excuse de merde, comme vous voulez : John va devoir la remplacer pour être un flic à la maternelle (hé oui, c'est le titre !) !
Alors ce bad-ass barbu sexy (je ne m'en remets pas, je pensais qu'il était imberbe) se rase, range sa chemise dans son pantalon, échange son cuir pour du velours et va à l'école. Cette montagne sacrée qui dézinguait tous les plus barbus que lui sans pitié, presque comme un robot, se retrouve face à des gosses, des petits morveux et il tremble de terreur.
Du coup, Schwarzy, plein de bon sens, troque cette fois son fusil à pompe pour un sifflet, devient un shériff et transforme les enfants en mini-deputies. Y'a un furet comme mascotte aussi. Y'a une histoire d'amour, y'a le méchant qui revient, y'a des bons sentiments, etc. etc. etc. On s'en fout un peu. Les acteurs sont tous formidables et j'ai bien ri.

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slowpress
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le 12 mai 2014

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slowpress

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