Le collectionneur
Commençons par évacuer le premier présupposé : Hong Sang-Soo serait le Rohmer coréen. Rohmer a un oeil et une culture picturale qu'HSS n'a pas, il l'exprime brillamment dans des tableaux vivants,...
Par
le 8 nov. 2015
27 j'aime
3
Combien de films vont aussi loin dans la mise à nu sans tomber dans l’histrionisme ?
Créée
le 25 août 2016
Critique lue 77 fois
D'autres avis sur Un jour avec, un jour sans
Commençons par évacuer le premier présupposé : Hong Sang-Soo serait le Rohmer coréen. Rohmer a un oeil et une culture picturale qu'HSS n'a pas, il l'exprime brillamment dans des tableaux vivants,...
Par
le 8 nov. 2015
27 j'aime
3
Ne connaissant Hong Sang-Soo que de réputation, je ne saurais mesurer à quel point ce film constitue une (énième, légère) variation dans sa carrière. Peu importe, à vrai dire. Indépendamment de ces...
Par
le 6 juin 2016
15 j'aime
9
Hong Sang-Soo, où l'épuration jusqu'à la moelle d'une existence qui s'avère être une non-vie. Un jour avec, un jour sans, où l'éloge du vide, du rien, du néant. Fracas intersidéral, vie qui s'échine...
Par
le 9 mars 2016
10 j'aime
4
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Après un premier tiers prometteur, le film stagne et s’enferme dans un formalisme stérile et de plus en plus exaspérant. La tension se dilue dans une esthétique arty qui finit par perdre le...
Par
le 25 août 2016
1 j'aime
Vouloir conjurer le théâtre filmé par du cinéma filmé, c’est non point s’ouvrir à la possibilité d’une alliance fructueuse, mais plutôt à la garantie de multiplier l’un par l’autre.
Par
le 25 août 2016
1 j'aime
Comme ses personnages ne cessent de négocier, marchander ou chaparder, Brizé aussi finit par chaparder avec sa caméra braquée sur une « humanité ordinaire » espérant, avec cette arme disproportionnée...
Par
le 26 août 2016