Prévisible du début à la fin, avec son avalanche de quiproquos et de blagues conventionnelles
Un jour mon père viendra (2012) est basé sur un scénario des plus simpliste et paresseux qui soit. Une jeune femme se marie, cette dernière n'ayant pas convié son vrai père au mariage décide d'embaucher un comédien pour jouer le rôle de son paternel. Prévisible du début à la fin, avec son avalanche de quiproquos et de blagues conventionnelles que l'on voit venir à grands coups de roulement de tambour, quant aux interprètes principaux, si on ne sera pas surprit de retrouver François Berléand dans la peau d'un aristocrate psychorigide et Gérard Jugnot dans le rôle du loser de service, Olivia Ruiz (de la Star Academy de TF1) quant à elle, apparaît pour la première fois au cinéma, et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'on préfèrera éviter de s'attarder sur son non-jeu d'actrice, il est en effet préférable pour elle qu'elle reste dans l'univers de la musique et qu'elle délaisse la comédie.
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