En traîneau par la foule
L’arrivée et le départ du village se font sur de magnifiques plans d’étendues blanches: on suit un bateau qui vogue entre la glace, ou un traîneau qui file sur un manteau neigeux, et tout est...
Par
le 30 mai 2018
8 j'aime
7
Il s'en faut peu pour que le film se résume à un docu National Geographic. Sauf que la beauté des paysages sert d'écrin à cette fable sur le dialogue mutuel des cultures. Avec un brin trop de réalisme, pour peu d'imaginaire.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Juin 2018 / Cinéma et Les meilleurs films français de 2018
Créée
le 29 juin 2018
Critique lue 199 fois
1 j'aime
6 commentaires
D'autres avis sur Une année polaire
L’arrivée et le départ du village se font sur de magnifiques plans d’étendues blanches: on suit un bateau qui vogue entre la glace, ou un traîneau qui file sur un manteau neigeux, et tout est...
Par
le 30 mai 2018
8 j'aime
7
Depuis quelques temps, le documentaire évolue. Certains réalisateurs préférant sublimer la fiction par le réalisme, choisissent un thème qui se fond en un récit, ébauchent la colonne dorsale du film...
le 11 juin 2018
7 j'aime
3
Une année polaire, le nouveau film de Samuel Collardey - dont j'avais beaucoup aimé sa Tempête en 2015 - est à nouveau une très belle découverte cinématographique. A la croisée des mondes : un...
Par
le 29 mai 2018
7 j'aime
3
Du même critique
Dans des plans très beaux (quoiqu'empruntés au naturalisme des Dardenne), Dhont offre des rôles superbes à L. Drucker et E. Dequenne. Mais l'ensemble souffre de nombreuses facilités de scénario pour...
le 27 mai 2022
8 j'aime
Indispensable pour son sujet et ce qu'il témoigne des violences sexuelles faites aux mineurs. Mais, comme objet de cinéma, hormis les inventions exportées du théâtre, il n'invente rien. Et...
le 20 nov. 2018
8 j'aime
8
La puissance de cet EP, derrière la modestie de son contenu, tient à la sagace composition de ses beats, entre rap, hip hop et dubstep franc, et à la plume aiguisée et percutante de son auteur,...
le 25 mai 2017
8 j'aime