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L'arche russe.
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Le rêve pour horizon
Documentaire qui va tristement se transformer en dernier hommage, Une journée d'Andrei Arsenevitch est aussi et surtout une belle analyse du cinéma de Tarkovski. Chris Marker, avec l’œil qu'on lui connait, nous aide à faire un pas dans la poésie d'un auteur adulé par certains et hermétique pour d'autres, tant les moyens et le talent qu'il a su mettre en œuvre pour chacun de ses films en ont fait d'uniques expériences visionnaires.
Dans Laterna Magica, Bergman écrit : Le film, quand ce n'est pas un documentaire, est un rêve. C'est pourquoi Tarkovski est le plus grand de tous. Il se déplace dans l'espace des rêves avec évidence, il n'explique rien, d'ailleurs, que pourrait-il expliquer ?
Plus pratique, plonger ainsi dans le tournage (mouvementé) du plan-séquence le plus célèbre du Sacrifice fait de cette Journée un document forcément passionnant pour tout amateur de cinéma un tant soit peu attiré par l'envers du décor.
Dans Laterna Magica, Bergman écrit : Le film, quand ce n'est pas un documentaire, est un rêve. C'est pourquoi Tarkovski est le plus grand de tous. Il se déplace dans l'espace des rêves avec évidence, il n'explique rien, d'ailleurs, que pourrait-il expliquer ?
Plus pratique, plonger ainsi dans le tournage (mouvementé) du plan-séquence le plus célèbre du Sacrifice fait de cette Journée un document forcément passionnant pour tout amateur de cinéma un tant soit peu attiré par l'envers du décor.
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le 18 oct. 2013
Modifiée
le 1 févr. 2014
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