Une pure frivolité
Un petit duel Depardieu/Polansky dans un bâtiment prenant l'eau de toute part, au cours d'une nuit d'orage où l'on tente de faire la lumière sur un meurtre ayant eu lieu non loin de là. C'est un...
le 30 sept. 2017
4 j'aime
2
Oublié à tort parmi la production des années 90, le film de Giuseppe Tornatore est un réel plaisir à redécouvrir aujourd'hui. D'abord parce que le duo d'acteurs surprenant que constitue Depardieu et Polanski vaut largement le détour, et qu'il nous vaut une excellente composition de l'un et l'autre.
Ensuite parce que ce film est largement plus malin qu'il n'y parait. Bien écrit et bien dialogué, il évite l'écueil du manque de rythme en dépit de son côté théâtral. Et au final, cette confrontation en huis-clos réussit le tour de force de surprendre là où on ne l'attend pas.
Créée
le 6 avr. 2024
Critique lue 30 fois
D'autres avis sur Une pure formalité
Un petit duel Depardieu/Polansky dans un bâtiment prenant l'eau de toute part, au cours d'une nuit d'orage où l'on tente de faire la lumière sur un meurtre ayant eu lieu non loin de là. C'est un...
le 30 sept. 2017
4 j'aime
2
"Une pure formalité" est avant tout une curiosité, tout d'abord dans l'histoire déroutante, et ensuite dans le face à face improbable Depardieu/Polanski. Rien que pour ces deux monstres du cinéma, ça...
Par
le 17 janv. 2013
2 j'aime
2
Récupéré par la police alors qu'il errait en pleine forêt sous une pluie battante, un écrivain solitaire est interrogé par un commissaire, donnant lieu à une confrontation. Un coup de feu a été tiré...
Par
le 19 févr. 2023
1 j'aime
Du même critique
Les deux premiers Mad Max envisageaient le déclin d'un monde. C'était certes excessif, mais après tout, ça semblait plausible, et c'était même brillant. Mais George Miller se crashe tristement...
le 23 mai 2024
6 j'aime
C'est pas moi est plaisant à regarder, les images et le son sont joliment travaillés. Et en 40 minutes, on n'a pas le temps de s'ennuyer. A peine commencé, c'est déjà fini... Abracadabra !Maintenant,...
le 16 juin 2024
5 j'aime
La sélection du festival de Cannes a régulièrement un parfum de provocation. C'est d'ailleurs aussi pour ça qu'on l'aime... Car elle dépasse le cadre du cinéma compassé et académique. Mais cette...
le 6 nov. 2024
4 j'aime