Un film que certains esprits étriqués ou ultra conformistes voudront classer en propagande, pourtant il s'agit d'une histoire vraie, racontée par celle qui l'a vécue en tant que femme dans le contexte sociétal d'un état d'Amérique du Nord.
Le contexte : cela se déroule aux USA dans l'état du Texas.
Derrière le planning familial se cache en réalité l'industrie médicale. Aussi cette industrie, dans laquelle les milliardaires tels Gates, Soros et leur clique mondialiste ont investit, pousse à l'avortement en omettant volontairement le volet prévention car l'avortement est une industrie qui rapporte : 600$ en moyenne par acte médical (même tarif en FRANCE !) là où la contraception ne rapporte rien compte tenu des coûts d'exploitation liés aux locaux et du personnel du planning familial aux USA. Dégoutée par le capitalisme poussé à son paroxysme elle finit par quitter son emploi et se retrouve poursuivie en justice.
Le jeu des acteurs : l'actrice principale est parfaitement dirigée, les acteurs secondaires sont tous très bien joués, même l'impitoyable directrice avide de réussite féministe.
Le scénario : difficile de faire tenir des années dans un film aussi il y a énormément de raccourcis et trop de narration, mais la boucle est bien pensée.
Les images : choquantes ? Non, elles sont simplement vraies ! C'est comme cela que ça passe, n'en déplaise à celles et ceux qui voudraient le nier.
Suis-je plus pro ou anti avortement après avoir vu le film ? Non. N'étant pas une femme, je laisse le soin à chacune, je l'espère, d'avoir l'intelligence de comprendre ce que "disposer de leur corps" peut avoir comme conséquence sur leur vie et en assumer les conséquences, cela s'appelle le libre arbitre.
La conclusion : il est étonnant de constater les similitudes entre la crise actuelle COVID19 et ce film : le refus de soins peu chers pour une vaccination hors norme. A méditer.