Un avis du New York Times !

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"Les Martiens qui regardent `` Vital Signs '' supposeraient que les médecins sont des terriens qui ont l'air mignons en jeans, qui traquent délibérément pendant qu'ils parlent et qui font attention à ce que tous les cheveux soient en place, en particulier autour des sourcils. Ils pourraient également imaginer que la médecine est une ramification de l'armée, car les médecins de ce film se livrent souvent à des discours durs et superconcurrentiels - c'est-à-dire lorsqu'ils ne flirtent pas à la folie ou ne se livrent pas à l'humour au bloc opératoire. «La tension est tellement forte ici que je ne sais pas si je dois la couper ou le patient!» Est un exemple de ce dernier.

Vital Signs '' est la dernière tentative cinématographique de capturer la joie de l'école de médecine ( Gross Anatomy '' de l'année dernière l'a fait mieux) et de fusionner la pénibilité de la vie hospitalière avec le professionnalisme sexy que l'on retrouve récemment dans des émissions de télévision comme `` 'LA Law. '' Jimmy Smits, l'une des stars de cette émission, est même choisie ici dans le rôle mis à jour de Raymond Massey. En tant que doyen et chef de la chirurgie, il se tient la tête et les épaules au-dessus du reste de la distribution, littéralement et autrement.
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Les acteurs qui jouent les étudiants forment un groupe extrêmement guilleret, mais ils ont tendance à être impitoyables et manquent généralement de personnalités distinctives. Lorsque Michael Chatham (Adrian Pasdar) et Gina Wyler (Diane Lane) commencent une romance parascolaire, ils semblent être davantage réunis par une bonne apparence mutuelle que par autre chose. Leur rencontre sexuelle dans un placard de fournitures hospitalières a beaucoup plus à voir avec un lissage acrobatique pour la caméra qu'avec une véritable attirance. L'une des pires choses à propos du scénario, qui est de Larry Ketron et Jeb Stuart, est qu'il tue un patient pédiatrique afin de rendre Gina si désemparée qu'elle et Michael tomberont dans le lit.

La direction de Marisa Silver repose trop fortement sur le type de mouvements fréquents de caméra qui signifient une activité dynamique mais suggèrent plutôt la fausse excitation de la publicité ou de la télévision. Même ainsi, les «signes vitaux» n'ont jamais beaucoup d'énergie en eux-mêmes. Le problème fondamental du film est qu'il ne contient pas de tournants surprenants et que ses personnages sont familiers de part en part. Même le personnel non médical, comme la serveuse (jouée assez docilement par Laura San Giacomo) qui se sent négligée par l'étudiant en médecine obsédé par le travail qui est son nouveau mari (Jack Gwaltney), est simplement familier des feuilletons d'autres types.

William Devane, qui est également utilisé comme une vision extrêmement exagérée du chirurgien en tant que divinité de l'hôpital, et Norma Aleandro en tant que patiente cancéreuse qui s'intéresse indûment aux progrès de carrière de son élève préféré et dont la maladie - dans un film comme ça, de toute façon - l'a rendue sage.

Sexe dans la salle

VITAL SIGNS, réalisé par Marisa Silver; scénario de Larry Ketron et Jeb Stuart, histoire de M. Ketron; directeur de la photographie, John Lindley; édité par Robert Brown et Danford B. Greene; musique de Miles Goodman; concepteur de production, Todd Hallowell; produit par Laurie Perlman et Cathleen Summers; publié par 20th Century Fox Film Corporation. Durée: 103 minutes. Ce film est classé R.

Michael Chatham. . . Adrian Pasdar

Gina Wyler. . . Diane Lane

Kenny Rose. . . Jack Gwaltney

Lauren Rose. . . Laura San Giacomo

Suzanne Maloney. . . Jane Adams

Bobby Hayes. . . Tim Ransom

Dr Ballentine. . . Bradley Whitford

Bobby. . . Lisa Jane Persky

Dr Chatham. . . William Devane

Henrietta. . . Norma Aleandro

Dr David Redding. . . Jimmy Smits
Signes vitaux

Réalisateur
Marisa Silver
Écrivains
Larry Ketron, Jeb Stuart
"Stars"
Adrian Pasdar, Diane Lane, Jack Gwaltney, Laura San Giacomo, Jane Adams"