Démarrer ton film inter-galactique sur fond de Space Oddity prouve 2 choses, ou tu es pas très finaud, ou tu veux pas être finaud et tu assumes, ce qui dans ce cas très précis deviens difficile à évaluer.
L'intérêt de faire un fourre-tout spatio mes couilles avait surement du sens lors de l'écriture, sans profondeur beaucoup moins, et sans un humour d'une précision redoutable encore moins de moins, mais je suis qu'un mec qui appui sur le bouton lecture, alors je vais pas en faire des ananas.
Même si l'ensemble reste globalement attractif, l'amourette semi travaillé des deux ados-héros propulse le film à quelques degrés émotionnels d'un truc possiblement barbant, et la construction de ce Valérian limite détestable d'un truc possiblement possible.
C'est moyen, tout le monde le sait, mais les moyens alloués sont trop faramineux pour l'accepter, et je comprends cela.