Quand y en a plus, y en a encore. Alors que Bruce Willis était censé arrêter sa carrière à cause de sa maladie, chaque mois, un nouveau film sort avec lui sur l'affiche... Voici Vendetta, qui comme les derniers films avec Willis, respirent les armes, les règlements de compte, la testostérone mais surtout le navet à plein nez. Il faut dire que chaque projet associé à Jared Cohn, le réalisateur de ce film a toujours été du même genre : des navets de Direct-to-DVD (vidéo) dont un Fast and Fierce: Death Race extrêmement nul.
Ne comptez donc pas sur Vendetta pour relever le niveau, le scénario annonçait déjà le pire dans ce combat entre un citoyen qui se venge de la mort de sa fille et celui d'un gang et des tueurs de sa fille. Un personnage lambda qui va devenir un vrai serial killer pour venger une autre mort qui va compter (aussi) dans le scénario.
Côté réalisation, le niveau est faible : des décors basique peu emballant ni même un jeu d'acteurs qui soit passable sans parler de scènes finales dont on n'aurait espérer ne jamais les voir (merci Mike Tyson).