En quelques mots...
Je complèterai mon commentaire plus tard, car je suis en train de relire cet ouvrage, mais il est vraiment pénible de retrouver la sempiternelle opposition " Debussy, sombre" " Ravel lumineux" qui...
Par
le 1 déc. 2024
Je l'ai vu à sa sortie en 1982, j'avais 19 ans, je me souviens de chaque scène aujourd'hui : poignant ! Du poète, de ces femmes battues, parce qu'elles ne donnent pas de garçons, parce qu'elles jettent en biais un regard à un autre homme, parce qu'elles sourient à quelqu'un... je me souviens surtout de la dernière scène, de la femme répudiée chassée dans le désert avec son fils handicapé, de la première, celle qui accouche et est rouée de coup... et du viol le soir des noces, avec les boucles d'oreilles arrachées.... et tout cela par un regard masculin, celui du cinéaste, plein de compassion pour des femmes maltraitées, comme il y en a des millions de part le monde; un monde qu'il a connu ; le propos est sobre et violent tout à la fois. 40 ans après, je le revois comme si j'étais dans la salle. La même année sortait le sublime Yol de Yilmaz Güney et l'année d'avant le faussaire de Schloendorff : à partir de là, mon regard sur le monde n'a plus jamais été le même!....
Créée
le 6 sept. 2024
Modifiée
le 6 sept. 2024
Critique lue 7 fois
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le 1 déc. 2024
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