The Newsroom
Ha en c'est sûr que c'est plus intéressant que la série. Le scénario est plutôt bien ficelé ; certains éléments auraient pu être poussés plus loin, il aurait pu y avoir plus de scènes, plus...
Par
le 7 déc. 2016
4 j'aime
3
Ha en c'est sûr que c'est plus intéressant que la série.
Le scénario est plutôt bien ficelé ; certains éléments auraient pu être poussés plus loin, il aurait pu y avoir plus de scènes, plus d'obstacles, plus de manipulation, mais en l'état c'est quand même déjà bien. Les personnages sont intéressants et plutôt bien exploités, surtout le personnage principal, celui qui tire les ficelles. Et de là on trouve de très chouettes scènes (celle où il dit ses quatre vérités à sa femme est saisissante).
La mise en scène est simple, efficace. Le réalisateur se met au service de son scénario, ne cherche pas à impressionner inutilement, il sait que son histoire est suffisamment solide. La caméra est bien située pour saisir l'action ; sans doute le chef op' aurait-il pu travailler davantage les compositions, la symbolique et tout le tralala, mais ce ton réaliste sied finalement mieux au sujet. Les acteurs sont très bons : le jeu est minimaliste, certains appuient un ou deux tics, sans plus.
Bref, j'ai pris du plaisir face à ce petit film policier. En plus le sujet m'a interpellé.
Créée
le 7 déc. 2016
Critique lue 338 fois
4 j'aime
3 commentaires
D'autres avis sur Viol en première page
Ha en c'est sûr que c'est plus intéressant que la série. Le scénario est plutôt bien ficelé ; certains éléments auraient pu être poussés plus loin, il aurait pu y avoir plus de scènes, plus...
Par
le 7 déc. 2016
4 j'aime
3
Il s'agit d'un film politico médiatique. L'histoire se déroule en Italie à Milan. Le film démarre par des scènes d'émeutes filmées de façon réaliste. Le climat est tendu entre les différentes...
Par
le 13 mars 2016
3 j'aime
Figure du cinéma politique italien à l'orée des années 70, pour ses interprétations remarquées dans La classe ouvrière va au paradis (1971) d'Elio Petri et L'affaire Mattei (1972) de Francesco Risi,...
le 28 sept. 2013
3 j'aime
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
120 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
107 j'aime
55