On plonge avec effroi et délice dans ce passe pas si lointain ou la condition des femmes était tout autre. On n'ose approcher de Simone de Beauvoir, sèchement efficace et recluse. On est pris à bras le corps dans les tempêtes internes de violette : ses passions contrariées, ses convulsions, ses émois, ses tendresses enflammes. Emmanuelle Devos nous l'offre, touchante et nue.
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ChristineLP
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le 18 nov. 2013

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