Rythme effréné
Jerzy Skolimowski inscrit Walkover, son deuxième long métrage, dans la lignée de sa première réalisation Signes particuliers : aucun (1965, Signalement d’un cinéaste en devenir). Plus encore que son...
le 29 déc. 2018
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Jerzy Skolimowski inscrit Walkover, son deuxième long métrage, dans la lignée de sa première réalisation Signes particuliers : aucun (1965, Signalement d’un cinéaste en devenir). Plus encore que son aîné, Walkover est mu par l’énergie des personnages mis en scène et les mouvements d’une caméra captant de façon instinctive un matériau réaliste en environnement naturel. Lire la critique complète.
Créée
le 29 déc. 2018
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