Sincérité et douceur ...
Oeuvre à la fois sensible, simple et dramatique, « Welcome to the Rileys » est avant tout un film qui brille grâce à son casting. Jake Scott signe ici une œuvre tout à fait juste, une...
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le 6 juin 2013
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Avant d'entrer dans le fond, restons sur la forme un instant.
Quelques funs facts a propos de ce "Welcome to the Rileys":
1) Le réalisateur, Jake Scott à été produit par Scott Free, la boite de prod des deux tontons: Ridley et Tony.
2) Melissa Leo a trouvé un créneau: femme de personnage à large embonpoint à la nouvelle Orléans. Attention, les personnages en question doivent être incarnés par des acteur géniaux: ici James Gandolfini, peu de temps après, John Goodman, dans Treme.
3) La plupart des critiques lues sur ce site mentionnaient comme motivation principale Kristen Stewart. Intérêt initial souvent déçu. Pour ma part je m'en tapais plutôt complètement (je ne l'avais vu et apprécié que dans les "Runaways"). Et je l'ai trouvé plutôt bonne... Comme quoi.
Le film, donc ?
Sur un point de départ à la fois relativement convenu et délicat, il parvient à éviter beaucoup de chausse-trappes habituelles, tient une ligne assez pure, servi, on l'a vu, par une troupe d'acteur de haut vol qui rehausse l'ensemble.
Pour autant, je ne suis pas sûr que le résultat soit totalement passionnant.
Il entre de fait dans la catégorie des bons films un peu chiant, parce que labourant un sillon maintes fois parcouru. Mais c'est fait avec application et bon goût, donc pas de quoi rejeter avec dédain. Ça poursuit une tradition des films de l'Amérique des à-côté, des "Sundance-like" comme l'ont déjà fait récemment Mr Schmidt, Sideways ou autre The visitor.
C'est ni bouleversant ni inoubliable. Simplement agréable, bien écrit et bien joué.
A vous de voir.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Je préfère me balader à la Nouvelle-Orléans qu'écouter une ballade et lire une nouvelle à Orléans, Un enfant de perdu, dix idées de scénar trouvées, C'est dans les bras d'une prostituée, après une courte tisane, qu'à Tain-l'Hermitage, rue de Bitche, périt papé Ticiène. Vous ne pûtes rien y faire. et On arrête de rire, James. La gondole, finie.
Créée
le 21 sept. 2011
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