Preux qui restent
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Winter Break se veut littéralement être un "break" dans cet hiver 2023. L'ancien logo de la Universal accompagné du bruit de la pellicule nous plonge dans ce conte des années 1970 dans une école à la "Poudlard" perdue dans des coins enneigés avec grande salle et buffet de fin d'année.
Ce récit prévisible (un étudiant, Angus - incarné par le jeune Dominic Sessa - est bloqué avec son prof d'histoire qu'il déteste - Paul Giamatti - pendant les vacances de Noël mais ils vont finalement devenir amis) apparaît pourtant comme une jolie histoire particulièrement touchante sur la solitude, l'empathie et la tolérance envers l'autre.
En fin de compte, je regrette qu'Alexander Payne ne se soit pas saisi du présent comme cadre de sa fable, je trouve qu'on en ressort avec une certaine distance vis-à-vis du propos défendu par le film bien qu'il puisse être encore très actuel !
Créée
le 19 févr. 2024
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