Le Festin de Babel
Il faut commencer par chercher, longuement, à s’astreindre à un esprit de synthèse face au continent Winter Sleep. 3h16 de dialogues, la plupart en intérieurs nuit, ou lactés d’une lumière blafarde...
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Ce film, malgré la beauté des quelques paysages qui le parcourent, est une méditation pour l’endormissement. C’est un très bon film pour s’endormir, bien au chaud, devant sa cheminée ou son poêle à bois… Il est froid, d’une lenteur absolue, semé de tirades existentielles aussi longues que l’autoroute A1. Un film pour faire dodo.
Créée
le 17 nov. 2021
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