Malgré son budget plus confortable lui permettant de s'offrir de somptueux décors et certains FX pas trop mauvais (les dinosaures échappent au pire), le film parvient tout de même à se vautrer dans le gros nanar, grâce à son Reb Brown de compétition mais aussi grâce à son scénario archi-nullos qui se contente de trimballer les héros d'un endroit à l'autre de manière quasi-aléatoire (cela aurait d'ailleurs pu continuer comme ça sans fin). Le seul liant, c'est la capacité de Yor à systématiquement provoquer la destruction de chaque lieu qu'il visite (village, grotte, centrale nucléaire, etc.). Un bon point également à Overlord (sacré John Steiner !) et à l'ode à la polygamie que permet l'univers libertin de Yor !