Peu de temps après avoir joué à Brotherhood, qui m'a laissé sur ma faim, je me lance dans Assassin's Creed II : Revelations. C'est avec plaisir que je me lance dans une nouvelle aventure avec Desmond et son aïeul Ezio Auditore Da Firenze. Mais l'intro du jeu fait dans le grand n'importe quoi. Brotherhood nous laissait avec un Desmond controlé par une entité divine qui assassine sa pote (sous le prétexte que dans un éventuel futur celle ci pourrait, peut-être, trahir les assassins) avant de tombé dans le coma. Pour le maintenir en vie, ses potes Assassins l'installe dans l'animus afin de stabiliser son cerveau. Ainsi, révélation commence avec un Desmond plongé dans une inception : Desmond plonge dans son esprit qui plonge dans l'esprit d'Ezio qui plonge lui même dans l'esprit d'Altaïr tout en rencontrant l'esprit de son cousin (le sujet 16) qui fut bloqué dans l'animus en plongeant dans l'esprit d'Ezio qui plongeait dans l'esprit d'Altaïr. En bref, le début de cet opus me laisse dubitatif. Et le scénariste s'en sort plutôt bien en nous laissant dans un état d'incompréhension compréhensible.
Heureusement, on se retrouve vite dans la peau de notre assassin italien préféré.
Ezio à 53 ans et n'a que trop de questions sans réponse. Il décide donc d'entreprendre un voyage dans la ville ou naquit son ordre pour essayer de trouver quelques réponses. Hélas la ville est sous le joug de l'ennemi qui recherche la même chose qu'Ezio. Nous partons donc pour Istanbul où serait caché les clefs qui permettent d'ouvrir la bibliothèque de Masyaf. C'est ici que le jeu prend toute sa gloire.
Arrivé à Istabul, nous faisons connaissance avec Yusuf, jeune assassin, qui nous servira de didacticiel au technique du crochet qui remplace la seconde lame cachée. Il s'agit juste de l'objet le plus stylé, utile, jouissif de toute la saga. Grace à lui, Ezio peut grimper plus haut, à de nouvelles techniques de combat et surtout il peut glisser sur les cordes tendues un peu partout dans Constantinople. Ezio à aussi à sa disposition l'attirail du gentil alchimiste et nous pouvons maintenant crafter des bombes qui selon les composants peuvent exploser, distraire semer la panique.
L'un des point phare du jeu est surtout la possibilité de prendre à nouveau le contrôle d'Altaïr lors de quelques points importants de sa vie.
Le système de gestion des Assassins à été amélioré et permet de débloquer l'ultime armure du jeu qui est vraiment trop classe (ce qui nous change de celle de Brotherhood qui était dégueulasse).
En Bref Révélations est l'agréable mélange de ses trois prédécesseurs. Un mélange qui aura été amélioré par quelques rajout inédit. Un paris dangereux qui aurait put passer pour du bon vieux recyclage dégueulasse.
Assassin's Creed Révélation est, pour moi, le meilleur opus de toute la saga. 0 défaut.