Essaie encore
Sic semper tyrannis, ou «Ainsi, toujours aux tyrans», telle est la devise de la Virginie, l’une des Treize colonies britanniques qui ont fondé les USA. Terre espagnole, puis anglaise mais avant tout...
le 16 juin 2016
1 j'aime
Grosse déception que ce Betrayer qui, s'il s'avère très séduisant au premier abord, se prolonge bien au-delà du raisonnable. Le premier choc est esthétique : une image en noir et blanc, à peine rehaussée de quelques touches de rouge, une lumière sublime, et le vent qui souffle dans les arbres. Le second tient à l'ambiance, en particulier grâce au traitement convaincant du son, notamment la nuit, et bien entretenue par la narration fragmentaire. Et enfin il y a la brutalité des combats qui tranche avec la quiétude ambiante. Et puis tout cela s'étiole doucement. Passé trois / quatre heures de jeu aucune nouveauté ne se signale : on a fait le tour du gameplay, les combats deviennent répétitifs et surtout la recherche d'indices devient vraiment insupportable (elle consiste à sillonner les cartes en 'écoutant', sur le principe du ça chauffe ou ça refroidit). Le problème c'est qu'il faut pas loin d'une quinzaine d'heures pour épuiser tous les mystères et malheureusement sans grande gratification : la narration ne sort jamais de la routine établie dès les premières minutes de jeu et l'histoire reste trop diluée pour captiver le joueur. Betrayer souffre d'un énorme problème de rythme.
Créée
le 19 août 2015
Critique lue 134 fois
D'autres avis sur Betrayer
Sic semper tyrannis, ou «Ainsi, toujours aux tyrans», telle est la devise de la Virginie, l’une des Treize colonies britanniques qui ont fondé les USA. Terre espagnole, puis anglaise mais avant tout...
le 16 juin 2016
1 j'aime
On incarne un homme échoué en 1604 sur une île hantée par des fantômes et des créatures. Ce qui saute aux yeux en premier c'est le ton Noir & Blanc du jeu. Les seuls éléments colorés (en rouge) sont...
Par
le 25 janv. 2015
1 j'aime
Betrayer est pour moi une vraie bonne surprise. Ce qui m'a amené à jouer à ce jeu, c'est évidemment le parti pris chromatique de réaliser un jeu en noir et blanc avec pour exception la couleur rouge...
Par
le 27 oct. 2014
1 j'aime
1
Du même critique
Bethesda a atteint un tel niveau de médiocrité avec ce Fallout 4 que même le ressort habituel de l'exploration d'un vaste monde pour y découvrir les quelques pépites qui s'y cachent - lieux...
Par
le 16 nov. 2015
16 j'aime
3
Je ne vais pas beaucoup m'étendre sur sur ce deuxième opus et pour l'essentiel je renvoie à ma critique d'Innocence :...
Par
le 24 oct. 2022
15 j'aime
Sous la direction artistique le néant... ou presque. Dordogne est symptomatique d'un mal qui ronge le jeu vidéo français depuis (presque) toujours et indé depuis pas mal d'années : le truc narratif...
Par
le 16 juin 2023
12 j'aime
5