BioShock par Kaisermeister

Vous devez vous dire « Pourquoi revenir sur le premier volet alors que Bioshock Infinite est sorti ? » et bien….parce que !

Bioshock développé par Irational Games et sorti en aout 2007 a connu un véritable succès critique et commercial. En mars 2010, il se serait écoulé à 4 millions d’exemplaires, un véritable carton pour une nouvelle licence.

Le jeu débute par le crash d’un avion en plein océan. Vivant on décide de nager jusqu’à un phare au loin. Une fois à l’intérieur, on y découvre une boule étrange équipé d’une porte qui est ouverte. On y entre, on tire le levier qui s’y trouve, la porte se referme sur nous et cette boule entame une décente dans l’océan. Le sous-marin nous guide vers une cité sous l’eau. Il s’agit de Rapture.

Et quand on y débarque un personnage du nom d’Atlas nous contacte, il nous demande de l’aider à sortir de la cité lui et sa famille car son créateur et actuel dirigeant Andrew Ryan, devenu complétement fou, a instauré un régime de terreur et de répression grâce à sa milice composée de chrosomes, des citoyens de Rapture corrompus par un produit qui se nomme l’Adam.

Atlas nous explique également comment utiliser les plasmides, des substances modifiant l’ADN de façon permanente et qui permet d’utiliser des pouvoirs comme la projection d’éclair ou de renforcer son personnage (santé, résistance aux dégâts…).

La progression continue et nous finissons par tomber sur une petite fille qui plante une aiguille dans un cadavre, un chrosome arrive et tente de tuer la fillette ce qui provoqua l’apparition soudaine d’une armure équipé d’une foreuse sur le bras droit et massacra l’agresseur. Atlas nous explique alors qu’il s’agit d’un Protecteur et que la gamine était une Petite Sœur qui ont pour mission de récolter l’Adam sur les cadavres pour accomplir cette tâche sans danger, elles sont accompagnés du fameux protecteur qui la protégera coute que coute. On comprend que les chrosomes s’en prennent aux filles pour l’Adam. Par la suite, le Dr Tenenbaum,à l’origine des petites sœurs nous supplient de les sauver, il nous ai alors proposé de les sauver ou de les tuer mais que si nous les sauvons, le docteur nous filera un coup de main, si vous décidez de les tuer vous gagnerez plus d’Adam.

A part les plasmides, on utilise également différentes armes avec pour chacune 3 types de munitions. Et c’est là qu’on commence à en baver parce que les munitions sont super rare, on peut toujours en acheter mais c’est pareil, l’argent est rare et on a tendance à s’acheter des kits de soins plutôt que de se payer des munitions qui coutent super cher.

Ce n’est pas tout parce que les chrosomes sont vicelard en plus d’être souvent balaise, ils vont vous demander beaucoup de dextérités et on ne parle pas des Proctecteurs parce qu’on n’est pas obligé de faire la quête des petites sœurs mais c’est limite obligatoire si on veut améliorer ces plasmides, surtout ceux de feu, d’éclair et de gel.

Et puis la version est particulièrement bancale, on se retrouve obligé de faire une manipulation pour faire fonctionner le jeu sous Windows 7 64 Bits, il lui arrive de planter sans aucune raison et quand ça arrive on doit reconfigurer le jeu. C’est bien chiant.

L’histoire quant à elle réserve son lot de retournement de situation, coup de Trafalgar…etc. On s’identifie au personnage et on finit par être à fond dans le jeu à nos dépends. Et quand on arrive à l’épilogue au bout d’une dizaine d’heures de jeux, on est satisfait, content d’y être arrivé.

L’ambiance glauque, le back ground poussé, tout y est pour nous mettre dans l’ambiance malheureusement la difficulté du jeu et quelques soucis techniques viendront nous tirer hors de Rapture mais il est indispensable de faire ce premier volet avant d’attaquer Bioshock Infinite pour comprendre le délire d’Irational Games, le propos du premier Bioshock est aussi différent du troisième volet.

Bioshock est une expérience indispensable à tout fan de jeux vidéo. Que ce soit sur consoles ou PC,il faut absolument le faire au moins une fois surtout que le jeu est trouvable pour une poignée d’euros quelques soit le support.